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Beaucoup de villes au japon ont des matsuri – des fêtes où des chars sont portés ou tirés dans les rues devant les foules. Nous avons entendu que le matsuri de fukuoka était le plus excitant de tout japon, et nous devrions y assister!
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un char montré dans les rues de fukuoka le soir avant la course
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la fête tire son origine du 13ème siecle, quand un prêtre a été emmené dans les rues de fukuoka en train d'humecter tout le monde avec de l’eau bénite, pour les protéger contre la peste. Aujourd’hui, des grands chars lourds et ouvragés sont portés sur les epaules des hommes (portant les strings) qui courent dans les rues de fukuoka pendant que les spectateurs les aspergent d’eau. 7 équipes qui représentent 7 quartiers de la ville participent. les enfants peuvent participer aussi – même les filles – mais dès qu’elles arrivent à la puberté, elles doivent comprendre que leur place est dans la cuisine, et elles ne peuvent que participé comme spectatrices – dans la fête et dans leurs vies.
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la fête tire son origine du 13ème siecle, quand un prêtre a été emmené dans les rues de fukuoka en train d'humecter tout le monde avec de l’eau bénite, pour les protéger contre la peste. Aujourd’hui, des grands chars lourds et ouvragés sont portés sur les epaules des hommes (portant les strings) qui courent dans les rues de fukuoka pendant que les spectateurs les aspergent d’eau. 7 équipes qui représentent 7 quartiers de la ville participent. les enfants peuvent participer aussi – même les filles – mais dès qu’elles arrivent à la puberté, elles doivent comprendre que leur place est dans la cuisine, et elles ne peuvent que participé comme spectatrices – dans la fête et dans leurs vies.
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la course commence à 04:59 le matin, donc g et moi avons dodoé pour quelques heures (après une soirée tardive en ville), et après, avant le lever du soleil, nous sommes allés au centre ville avec des milliers de touristes et locaux pour essayer de voir les hordes.
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la vidéo ci-dessous montre le premier char qui est passé – pardonne le travail de caméraman secouant à la lars von trier!
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je dois partir dans une digression et faire commentaire de race dans la course. il y avaient des étrangers blancs dans quelques équipes à fukuoka, et sans exception, leurs corps ont ressemblé aux masses de viande traité tenu ensemble à peine par une couche de plastique lâche. la peau était partout, et avec chaque pas, il y avait des micro-vagues de graisse qui se sont suivi sur les cuisses blanches qui passent. par contre, même les mecs japonais de 60 ans qui passent dans leurs strings avaient de beau culs bombés – ils étaits secs. je me suis senti presque gêné – gros par association – comme si les japonais avaient mal à se prevenir de se tourner vers moi en masse et – indicant un grand cochon blanc qui passe, comme une chorale grèque – crier que dès que je suis sur le mauvais côté de 30, moi aussi je suis condamné à être pas sec (avant de se tourner la tête pour avoir les haut-le-coeurs. putains d'étrangèrs blancs et parresseux! ils donnent à tous les gaijins une mavaise réputation.
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nous nous sommes bien amusés la bas, perdu dans la foule de gens excitée. fukuoka – même si nous n’étions la que le soir avant et le matin de la fête – avait l’air d’être une ville decontractée, amusante, accueillante, comme le dit sa réputation. je ne sais pas comment ça marche, mais tu sais des fois quand tu arrives dans un endroit, et tu as tout-de-suite un bon sentiment? ça c’était fukuoka - bien sur un des endroits les plus cools que nous avons visité au japon.
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