samedi 28 novembre 2009

les aventures de l'onsen

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quel est le mot japonais pour se mettre ensemble avec beaucoup d’autres hommes nus et éclabousser avec l’eau chaude? onsen.
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etant une chaîne d'îles volcaniques, il y a des centaines des sources chaudes dans tout le japon, et visiter un onsen est une expérience culturelle quintessenciel qu’il ne faut pas loupé au japon.
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nous avons visité notre premier onsen à nikkō, connu pour son 7/11, et notre deuxième en haut dans les montagnes au dessus de la ville à une source fétide. ici nous avons eu le bain juste pour nous pour quelques minutes, donc toutes les photos viennent de notre deuxième onsen.
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à nikkō, après être laissé par notre serviteur et lui avoir dit de revenir dans une heure nous retrouver, après avoir laissé nos chaussures près de la porte et avoir payé de l’argent, nous ont reçu les clés de vestiaires et des serviettes la taille d’un petit mouchoir. ‘ça sers à quoi?’ nous nous sommes demandés – pour se moucher? pour couvrir un seul téton? pour couvrir nos bites ou couilles mais pas toutes les deux? je ne suis pas encore 100% sur...
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nous avons rangé nos vêtements dans les vestiaires et nous avons continué vers la salle d’onsen, en disposant le mouchoir discrètement sur des parties diverses de nos corps, comme nous jugeons bon. dans la sale principale, nous avons trouvé quelques bains et un mur bas parsemé des pommes de douche, des seaux, des savons, et des hommes japonais des âges variés en train de se frotter avant une baignade. nous ne voulions pas être les blancs salles qui ont loupé un peu, donc nous avons fait un spectacle de nous frotter jusqu’a que nous étions rouge comme des homards, et après nous sommes allés aux bains.
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je ne suis pas très eau chaude, et c’était une question de s’immerger dans les eaux progressivement plus chaudes, variant entre tiede jusqu’à ‘putain c’est chaud!’, et entre-temps se refroidir dehors ou sous l’eau froide. la seule autre chose à faire était le sauna, mais nous avions déjà si chaud qu’après quelques secondes d’être entrés, toutes les proteins de nos corps nous menaçaient de se dénaturées, et nous avons du nous précipiter vers la sortie.
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alors, bien que l’onsen soit nu sauf le mouchoir, j’étais surpris de voir un japonais entrer avec ce-que j’avais pensé au départ d’être un petit sac à mains, en train de pendre librement entre ses genoux. soudain, la réalité m’a donne un coup. je ne vais jamais oublier, pour toute ma vie, la taille de ses enormes couilles. est-ce qu’il était moitié homme moitié taureau? j’avais vu des bas-pendeurs, mais ça c’était pas normal. elles étaient si grandes que c’était comme si il était sorti d’une page d’une bande déssinée d’un magasin de manga pornographique à akihabara, et directement dans notre onsen, et puis dans mon visage. je n’ai pas pu regarder, mais j’ai du regarder au même temps – tu sais comme c’est. tu as pu les voir de derière quand il était assis sur une tabouret, pendre au dessous, donc il n’y avait même pas une besoin d’être discret. quelqu’un aurait du appeler le livre guinness des records, ou la police.
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notre deuxième onsen a été en haut dans les montagnes près d’un lac dans la forêt, ou les eaux de l’enfer bouillonnaient à travers la boue. g est sorti indemne, mais j’avais une reaction à l’eau et j’ai fini avec des rougeurs partout sur mon corps qui m’a presque rendu fou pour 2 semaines, et nous a refroidi de plus de frivolité dans les onsens. mais pas de souci – il y avait beaucoup d’autres chose à faire et à voir au 日本!
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vendredi 27 novembre 2009

nikkō

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cliques ici pour la carte!
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non, pas le nom de mon beau-frère en japonais, mais nikkō: le mot japonais pour lumière de soleil, et le site des tombeaux et temples patrimoine mondiale de...*baillement*
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'qui s’en fout des temples' je t’entends crier avec degoût? pas nous! il suffit de dire que quelques minutes à peine après avoir acheter les billets (réduit a l’essentiel) pour 3 sites de temples, et être passés sous le premier tori, nous étions déjà en train de marcher à quatre pattes, bouleversés avec l’ennui. nous avons décidé de ne regarder que la forêt derrière le deuxième site (les arbres au japon sont incroyables – regardes les photos), et nous avons loupé le troisième site completement de peur de précipiter des convulsions d’ennui.
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notre maison d'hôtes a été assez chouette – c’était la première de beaucoup de nuits de bon sommeil sur des tatamis et des futons. la propriétaire a été très gentile, mais elle avais l’air d’être accro de servitude (dont elle était un maître), et a parler un peu trop de sa pauvreté, avant prendre des photos de nous avec son appareil photo de $3000 et rentrer chez elle pour les avoir imprimées et laminée avec ses équipements à elle. peut-être être pauvre au japon est comme ne pas être pauvre en australie.

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mais le point fort de nikkō a été: le 7-11. qui aurait cru qu’au plein milieu de la nuit on pourrait aller a un épicier du coin pour un repas chaud de trois plats emballé deux fois dans une boîte en plastique/sac en plastique/personels en plastique/salutation en plastique? c’était assez pour nous faire vouloir manger deux dîners.
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si seulement cette pagode aurait pu loger un 7-11 pour la rendre plus interessante...

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il y avaient deux événements choquants à nikkō, tous les deux avec un rapport avec l’appareil photo. le premier est arrivé quand je me suis pris mon pied et mon cou dans le cordon de l’appareil photo au même temps, dont le résultat a était ‘l’accident d’appareil photo de japon numero un’. l’appareil et ton correspondant ont survecu tous les deux – égratignés mais essentiellement fonctionel – donc c’était ok.

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le deuxième est arrivé quand gérard a pris une photo de mon cul de derrière quand j’étais en communion avec les arbres, en portant mon short préféré. quand j’ai agrandi la photo plus tard et j’ai vu mon cul dans ce susmentionné short, mon univers s’est complétement renversé. j’étais préparé à quitter la vie completement - changer mon identité et repartir à zéro. la pièce de vêtement est maintenant sur l’equivalent du quartier des condamnés à mort pour les habits, avec aucune chance d’une remise de peine, et c’est juste la realité incroyable du shopping facile au japon qui m’a prevenu de l’assassiné tout de suite en autodéfense.
.mon dieu mes yeux!
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je te laisse avec la photo que g et moi considerons d’être la meilleure que nous avons prise au japon. paix.
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