mercredi 17 juin 2009

elle ressemble à mon oncle

notre première impression de canberra était que c’était fermé. notre deuxième impression était que nous sommes arrivés au milieau d’un hiver nucléaire! même après les 4.5 jours là-bas, nous avions un sentiment vague que les météos étaient falsifié (rendue plus sexy pour les politiciens peut-être?) et que la ville était en train d’être abandonnée.
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le meilleur aspect de la visite à la capitale de notre pays était d’avoir vu sarah! nous avons passé une journée avec elle, sa petite amie carla et son père eric, en nous prommenant dans la galerie nationale d’art et la galerie nationale des portraits, et mâchant la plus grosse pizza que tu as jamais eu le plaisir écoeurant d’avoir mis dans ta bouche. mais il nous a fallu une autre dose de vanderwal, donc le lendemain on a sauté dans un bus au diable vauvert (où habite sarah avec sa famille), et nous avons passé une bonne soirée de la boisson, la nourriture et le trivial pursuit. c’était wonderwall. beaucoup du monde entre nous pensions à sarah ces dernièrs mois, et c’était si bon la voir et la toucher et l’entendre encore une fois après si longtemps. je rentre à melbourne en portant tout son amour et calins et bisoux à tout le monde. viens les chercher!
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à propos, le terminale des bus près de chez sarah devrait être éviter à tout prix. des haut-parleur ont joué la musique classique à plein volume, l’éclairage était faible et désavantageux, et à tout moment on attendait que les mecs de ‘l’orange mécanique’ apparaissent et nous cassent les têtes avec des battes de baseball.
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malgré son offre genereuse, nous ne sommes pas restés avec sarah, mais près du centre ville, pas loin de tous nos objectives. le contexte de notre accommodation était incroyable et incroyablement louche, et nous avons fait du troc en conséquence.
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donc, un retour aux choses qu’on a vu. le nouveau parlement est sensationnel. c’est une construction fière, et j’étais bouleversé avec la fierté quand on était devant, sur, et dedans. bien que je ne me trouve pas du tout patriote – pour moi un terme qui veux dire qu’on est préparé à mourir pour les petites idées – je suis très fier d’être australien, et cette fierté est arrivée sous la forme d’un mec en train de pleurer de temps en temps dans quelques endroits dans le parlement.
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pendant un tour du parlement, j’ái été peiné de trouvé que les sessions de parlement commence par une prière. peux-tu imaginer une chose pareille? moi non. je suis toujours assez peiné. au lieu d'une prière, j’ai conçu une ‘danse du parlement’, dont j’ai fait la demonstration dans la chambre des députés pendant qu’on était là. clique ci-dessous et dis-moi si tu préférerais raconter une prière ou faire la danse du parliament avant le travail si tu étais un député. lequel et plus dans l’interêt du public?
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le parlement a siégé le lundi qu’on était là, donc on a réservé quelques billets et nous sommes allés les voir. j’ai voulu voir ce-qui se passe de l’autre côté de mon vote. nous avons vu kevin et julia et malcolm et peter et tous ses amis venir au microphone pour produire leurs artifices politiques. nous avons même vu un petit moment dans l’histoire de l’australie (je suppose) – l’au revoir de costello. l'ironie est que les personnes qui mènent notre pays ne semble à avoir aucun respect les uns pour les autres, puisqu’ils s'interposent et s’esclaffent pendant que les autres sont en train d’essayer de parler, mais les personnes qui les emploient (dans ce cas c’était juste moi, parce que g ne paie pas les impots ici), ont du s’y asseoir comme les statues et les supporter. j'ai mis mon capuchon parce que le climatiseur soufflait sur le derrière de ma tête, et avant 3 secondes un garde aggressif a surgi de nulle part et m’a commandé de l’enlevé. peut-être il s’est inquiété que mon cardigan gris, tricoté et audacieux était une distraction trop grande pour le premier ministre? quand je lui ai dit que je ne pouvais pas l’enlevé a cause de mes oreilles froides, il a grogné ‘enleve le capuchon’, et m’a fixé avec un regard menacant dans ses yeux, comme si j’étais une menace à la securité nationale. je me suis demandé 'mais putain, que se passe-t-il ici?'
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l’autre point fort culturel de canberra a été le mémorial à la guerre. j’avais entendu parler que c’était très bon, mais j’étais sceptique, surtout parce que j’ai un dégoût vague pour la célébration/commemoration des guerres mondiales, qui distrait du fait que nous n’avons pas encore la paix dans le monde. sarah l’a appelé le meilleur musée qu’elle a jamais visité, et maintainent, après y être allé, je ne peux pas dire autrement. ici encore je me suis senti fier d’australie, et j’ai larmoyé quand j’étais en train d’éxpliquer à gerard ce-qui s’est passé a gallipoli. le concept de nation australien a été né, g! les présentations était de bon goût et si bien recherché qu’on n’as pas pu se sentir autrement qu’absorbé.
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et c’est presque tout! g et moi allons partir pour le pays du soleil levant dans quelques jours pour presque 6 semaines (quelle excitation!), donc attends-bien une entrée de blog la taille d’une balène en voie d'extinction, attrapé et massacré pour la recherche scientifique, à la fin de tout ça. pour l’instant, ではまた!
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