jeudi 21 mai 2009

van diemen's land

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une carte de tasmanie avec notre route en rose epais. il y a le ‘spirit of tassie’ dans bass strait!

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après que je me sois débarrassé des examens, c’était l’heure de montrer à g un peu d’australie, et le voir moi-même. où mieux pour s’immerger dans la beauté de la nature que la tasmanie - notre ami du sud, et capitale de consanguinité? est-ce que tu as jamais pris le spirit of tasmania? c’est comme une géante machine à sous flottante, remplie de conducteurs de camions célibataires et poilus, et familles dont leurs animaux de compagnie conjoints ne peuvent absolument pas être laissé chez eux. le navire était enorme, donc on a pensé qu’il ne serait pas touché par les vagues: on avait tort. dès qu’on est part de la baie port phillip peu profonde, le navire a commencé a tanguer d'un côté a l’autre, avec des grands fracas avec chaque houle. j’étais convaincu que j’ai oublié de mettre le frein à main, et que les fracas étaient le bruit de notre voiture en train de défoncer le camion d’avant, et chaque deuxième fracas le bruit de notre voiture en train de défoncer la volvo de derrière. je devais me cramponner aux côtés du lit pour m’éviter de tomber par terre (or est-ce que c’était la biere?). de tout façon, nous n’avons point dormi!

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g prend une petite sieste dans notre cabine
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le lendemain matin, voiture intacte, nous sommes partis de devonport à cradle mountain. juste avant entrer dans le parc, nous avons arrêté devant un panneau d’information, et immédiatement sommes tombés dans les pommes avec la fatigue, reveillant une heure après, nous portant comme un charme. heureusement, parce qu’il pleuvait sans cesse pour les premiers 2.5 jours. il y avaient tant de genre de pluie sur cette île – je suis sûr que les langues aborigènes ont tant de mots pour la pluie que les langues inuit ont pour la neige. nous avons connu la pluie de ‘il bruine et tu es mouillé mais tu n’as pas froid malgré que le vent souffle comme une tempête, et à propos tu ne peux rien voir’. elle a donné au lieu une dimension additioné, et c’était éblouissant.
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les garçons mouillés

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dove lake, avec cradle mountain caché dans la brume derrière

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ce soir-la, nous nous sommes garés derrière des dunes de sable gigantesques sur le côte ouest de la tasmanie et nous avons passé une nuit agitée avec la pluie ‘la gravité tire les grosses goutes d'eau vers la terre, mais d'une manière ou d'une autre elles tournent de 90 degrees et viennent dans la voiture à travers l’ouverture d’un millimètre dans la fenêtre comme un missile guidé par infrarouge'. nous avons escaladé les dunes de sable le lendemain matin, mais nous étions attraper dans une nouvelle attaque de l’eau et du vent, qui a fouetté le sable jusqu’à la vitesse de sablage, et nous a trempé jusqu’aux os avant que nous puissions dire ‘je ne peux plus sentir mes jambes’. en reprennant connaissance, on a trouvé qu’on était en fait sablé, mais les rides restaient.

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notre lieu de camping! (dans l'arrière de la voiture!)

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la tempête de sable frappe!
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l’horreur...l’horreur...30 ans après la cessation de l’exploitation minière, les montagnes des environs de Queenstown dans l’ouest de la tasmanie sont toujours nues et érodées: la nature detruite.
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nous avons traversé l’état jusqu’a la petite maison de vacances de ma tante et son compagnon sur la rive de la rivière huon, 50km au sud d’hobart. un petit bunker rechauffé, quelques mètres d’une rivière large, entouré par des montagnes et vignobles – c’était un paradis! nous avons fini par y resté trois nuits.
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cette petit maisonette en briques dans l’avant scène est où nous sommes restés – jusqu’à la rive de cette rivière manifique!
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le premier soir (un vendredi), nous avons essayé de sortir à hobart, mais la seule chose que nous avons trouvé était un club de drag en forme de grotte où ils ont refusé de fermer la porte malgré qu’il neigeait autour de la ville, et tout le monde était habillé comme s’ils sont descendu d’un téléski. le froid m’a atténué l’appreciation pour les travelos grossiers qui ont fait des commentaires si offensives que j’ai pensé que je finirais avec mes deux yeux dans la même orbite. nous avons fuit.

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le lendemain matin nous sommes rentrés a trou-bart – maintenant encerclé par des motagnes aux sommets enneigés – pour le marché de salamanca. c’était la seule fois dans toute ma vie où j’ai connu la pluie ‘je vois avec mes deux yeux que les seules nuages dans le ciel sont là, au-dessus de cette montagne au loin, mais d’une manière ou d’une autre, nous nous mouillons toujours’. une spécialité tasmanienne peut-être. le point fort de la journée était un musée/gallerie d’art où nous avons vu l’exposition de patricia piccinini – ‘evolution’. nous avions vu unes de ses oeuvres ailleurs – est-ce que c’était à la biennale à sydney l’année dernière? l’exposition nous a troué le cul. ne la loupe pas si elle vient chez toi!
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voici g au marché de salamanca, avec les montagnes aux sommets enneigés de près!
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comme si nous décrivions la même orbite céleste et rose (ou peut-etre juste le chemin touristique), le même groupe de beaux mecs qu’on a dragué au marché de salamanca se sont pointés à port arthur le lendemain pour un peu de la tur-cule.
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vos mecs en fers. ouaf.

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le lieu était très beau, les guides passionnés, et il y avait une introduction intelligente qui t’as fait suivre l’histoire de seulement un bagnard, pour que tu puisses mieux comprendre le site, plutôt qu’être bouleversé par lui. l’histoire australienne n’était jamais si interessante! particulièrement, la prison à part pour les bagnards coquins était assez chocante, où les prisonniers ont été fait subir la privation sensorielle complet pendant des jours ou même les semaines d’affilées pour écraser de leurs esprits tous ce-qui étaient humains.
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l’église fait par les enfants.

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l‘établissement pénitentiaire, vu de l’autre côté du port

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g – trop mignon dans les ruines
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port arthur avec un soupçon d’abu ghraib...les bagnards ont du porter les masques dans la prison pour les empêcher d’avoir contact avec les autres êtres humains. les gardes ont porter des chaussons pour que leurs pas ne puissent pas être entendus...

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je ne peux pas parler de port arthur sans faire mention du jour atroce en 1996 - que nous nous rappelons tous - où 35 personnes y ont été assassinées. je pense que nous étions tous touchés par ça. c’était très émouvant d’aller dans la carcasse du café où la plupart de la horreur a passé, maintentant converti en site commémorative à ciel ouvert.
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quelques vues

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nous nous sommes arrêtés aux quelques falaises et quelques endroits au bord de la mer en rentrant a hobart, où nous avons dévoré des huitres avant nous précipitier vers la maisonette pour regarder l’eurovision! la russie devrait gagner encore une fois! que penses-tu? j’ai détesté l’entrée de norvège jusqu’a que j’ai realisé que je suis devenu accro. je l’ai téléchargé et depuis, je l’écoute lecture répétée. i’m so in love with a fairytale!
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notre avant dernier jour en tasmanie était le point fort de nos vacances. tous, de nos tourtes fait à main pour le petit dej, aux huitres et bières que nous avons consommé en regardant le coucher de soleil du parc national freycinet étaient un succès.
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nous avons marché (avec ma cheville bien fixé avec un strap) de la baie de coles jusqu’à la baie de wineglass (verre à vin) sous un ciel en bleu ceramique, sans nuage, et nous ne nous sommes pas retrouvés deçus par le hype de cette plage de sable blanc célébré. les vues étaient belles, l’eau était bleu de cristal, et les animaux ridiculement apprivoisés. gérard avait une aventure amoureuse avec un wallaby sur la plage, mais était deçu par le fait que tant de ses frères dormaient, parreseusement, aux côtés des routes du parc. qu’est-ce qu’on peut y faire?
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un animal inféodé à poser pour les photos avec touristes.

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wineglass bay à l'arrière-plan

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les gars sur un banc de bois branché, en haut dans les montagnes de freycinet :)

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après le susmentionné directement-d’un-roman-d’amour episode des huitres et bières pendant le coucher de soleil, nous nous sommes garés sur les ‘friendly beaches’ pour notre dernière nuit sur l’île de pomme. tous étaient parfait. encore des wallabys sont venus à jouer avec nous le lendemain matin.
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les friendly beaches (les plages amicales) – où au debout l’interaction entre les aborigènes et les européens était amicale. plus tard, les européens ont chassé et tué les aborigènes comme s’ils n’étaient que des animaux.

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un wallaby amical vient nous rendre visite sur les plages amicales

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sexy

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notre dernier jour nous a pris à launceston, qui était un peu nul, et bien que la gorge à côté était toujours aussi belle que la dernière fois que je suis venu avec maman, la seule attraction vrai était une exposition de science au musée local (sponsorisé dubitativement par rio tinto). j’y me suis senti comme un enfant dans une confiserie – ou peut-être comme moi dans une confiserie, puisque j’aime toujours les bonbons. en y allant, nous sommes passés à côté d’un vieux bureau de douanes d’il y a 150 ans, et gérard a signalé qu’il y avait une faute dans le français sur les armoiries au-dessus de l’entrée. nous sommes entrés dans le building a informé les autorités. les personnels là-bas nous ont remercié avec des expression sur ses gueules de ‘allez vous faire foutres’, et nous sommes descendus de nos grands chevaux et sommes sorti du building à quatre pattes. en googlant la phrase plus tard, il s’avère que le français sur les armoiries était correct. putain de petit ami français qui ne peut même pas parler sa langue maternelle!

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j’ai failli me demettré l’epaule en m’assurant que le frein à main était bien mis pour notre retour. nous avons dormi comme des bébés en traversant les eaux calmes pour melbourne merveilleux.
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rentrant à melbs – l’aube sur port melbourne.

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à la prochaine fois à canberra!
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