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les cironstances de mon séjour à hong kong évoque un roman de murikami (les bons morceaux), mais je ne vais pas expliquer tout ça dans cette entrée (il faut que j'y pense d'abord). je ne vais parler que de bangkok.
je n'ai été à bangkok qu'une fois auparavant, et la première fois, comme cette fois, ce n'était que pour un transit de 24 heures. bien que ce soit un tout petit peu de temps, ça te stimule à tirer 60 secondes d'aventure delicieuse de chaque minute.
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c'était le nouvel an chinois, donc je suis allé directement au quartier chinois, le coeur du vieux bangkok. malgré que la nourriture en afrique n'avait aucun gout, j'ai grossi, et maintenant j'ai une nouvelle bedaine affreuse. moitié d'elle est partie la semaine dernière quand j'ai laisse sorti un gros pet, mais l'autre moitié ne veut point bouger. j'ai voulu commencer un régime de famine, mais quand je me suis pointé jusqu'au quartier chinois, et j'ai vu tous les stands de nourriture deliceuse le long des rue jusqu'à perte de vue, j'ai commencé à manger...et je ne pouvais pas m'arrêter.
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en fait, je considère cette fois comme une des trois expériences les plus 'j'ai perdu control de ce que je mange' de toute ma vie, (la pire était l'année dernière à yangshuo dans ce que j'appele 'l'incident de porc aigre-doux' ou ils m'ont donné un plat de porc si grand il aurait suffit pour nourrir toute l'armée du peuple, servi avec du riz dans un seau de bois qu'on dirais volé du puits de la communauté, et pour une raison ou une autre je me suis forcé de le dévorer jusqu'au dernier grain. la nausée et la douleur que j'avais cette nuit quand je rentrais chez moi à quatre pattes...je ne le souhaiterais même pas à mes pires ennemis!)
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l'occasion pour se laver les mains n'existait pas, et je souhaitais être terrassé (et me vider comme un canard) par une infection parasitaire d'intestin, mais j'étais frustré encore une fois: dans mes courts 26 ans, j'ai déjà mis tant de choses dans ma petite bouche qu'actuellement je suis immunisé contre tout! allo dr freud?
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plutôt que d'avoir une soirée sordide (comme suggérer par le nom de la ville), j'ai passe la soirée dans un stade à regarder la boxe thai. deux spécimens parfaits de jeunesse mâle (et je veux dire parfait - 0% graisse corporelle, mince comme des rateaux, mais musclés comme je ne sais pas quoi) se sont battus avec les poings, coudes, pieds et genoux pendant des rounds de 3 minutes. s'il y avait des règles, je ne savais pas lesquelles elles étaient, et même si je deteste la violence, j'ai trouvé que je suis devenu excité avec toute la férocité, et des mal pensées me traversaient, genre 'donne-lui encore un coup de pied' ou 'frappe-le plus fort'! c'était un soir interesant.
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le grand paradoxe de la boxe thai est:
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tandis que tu ne voudrais pas rencontrer aucun de ces mecs dans une ruelle obscure, tu voudrais rencontrer chaqu'un de ces mecs dans une ruelle obscure.
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adoptons la position du lotus pour y méditer jusqu'à la prochaine fois!
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vive sa majesté le roi bhumibol rama IX!
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